Gilles Marthe, président de l'AFPA : « Je n'ai pas les moyens de renverser la tendance »

Gilles Marthe, président de l'AFPA : « Je n'ai pas les moyens de renverser la tendance »

Propos recueillis par Adams Kwateh
Gilles Marthe : « Je suis à un moment où je goûte l'amertume de la vie, sans avoir les moyens de renverser la tendance » . (J-M.E./France-Antilles)
Gilles Marthe : « Je suis à un moment où je goûte l'amertume de la vie, sans avoir les moyens de renverser la tendance » . (J-M.E./France-Antilles)

A quelques jours de la fin programmée de l'AFPA, Gilles Marthe, son président tourne 50 ans de formation. Le coeur serré.

L'institution ne vit plus que pour quelques jours. Dans quel état d'esprit êtes-vous ?
Je vis les derniers moments de l'institution avec beaucoup d'amertume, puisque je connais l'AFPA depuis plus de 15 ans. Et depuis un peu plus de deux ans, je suis président du conseil d'administration après avoir siégé en son sein très longtemps.
Cette période passée à la présidence de l'AFPA ne m'a pas permis de la sortir d'affaire, comme je le voulais. Mais à ma décharge, il faut dire que la situation qui l'a fait plonger ne date pas des deux dernières années : c'est le cumul d'un certain nombre de faiblesses qui a généré sa disparition.

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