L'épidémie de chikungunya est inévitable

L'épidémie de chikungunya est inévitable

S.B.
RÉUNION. Patrice Richard, directeur général de l'ARS au centre, lors d'une conférence de presse, vendredi, au siège de l'agence aux Abymes. À sa droite : Joël Gustave, chef du service de lutte anti vectorielle, à sa gauche : Patrick Saint-Martin, responsable du pôle de veille sanitaire.
RÉUNION. Patrice Richard, directeur général de l'ARS au centre, lors d'une conférence de presse, vendredi, au siège de l'agence aux Abymes. À sa droite : Joël Gustave, chef du service de lutte anti vectorielle, à sa gauche : Patrick Saint-Martin, responsable du pôle de veille sanitaire.

À l'occasion de la Journée mondiale de la santé, l'Agence régionale de santé (ARS) fait un point global sur les chantiers en cours en matière de santé publique. Se prémunir contre le chikungunya demeure la priorité numéro un.

« Petits, mais dangereux : les moustiques, punaises, tiques et autres insectes peuvent représenter une menace pour la santé, à la maison ou en voyage. » C'est le message délivré, cette année, par l'OMS (1) à l'occasion de la Journée mondiale de la santé, aujourd'hui.
Une formule qui tombe à pic en Guadeloupe, et plus généralement dans la Caraïbe, en proie depuis plusieurs mois au virus du chikungunya et plus régulièrement de la dengue.
« AU DÉBUT DE L'ÉPIDÉMIE LES MOYENS SONT EFFICACES »
Cette journée est donc l'occasion pour l'Agence régionale de santé (ARS) de marteler une nouvelle fois les mesures de prévention...

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